Nicolas sarkis : "Bonne chance, monsieur le Président"
(…) Permettez-moi, Monsieur le Président, de dire que vous avez trouvé les mots justes en faisant savoir tout dernièrement que vous avez été «révolté» par les scandales dont il est question et que vous êtes déterminé à ne pas «laisser passer». Ces mots ont tout leur poids dans la bouche de celui qui, après avoir porté bien haut le nom de l’Algérie sur la scène internationale et après avoir réussi à l’arracher aux affres des «années noires» de triste mémoire, assume aujourd’hui les plus hautes responsabilités au sommet de l’Etat.
Les Algériens et les amis de l’Algérie ont maintenant les yeux tournés vers vous et ne peuvent que vous souhaiter bonne chance dans votre nouvelle et lourde mission d’éradication d’une gangrène qui commençait à menacer la sécurité nationale et les intérêts vitaux de l’Algérie.
Nicolas Sarkis, 2 mars 2013. El Watan.com
Nicolas Sarkis et les nationalisations
"En abattant ce redoutable mur de la peur, les nationalisations algériennes de 1971 ont complètement changé la donne en ouvrant la voie à la liquidation de l’ancien régime des concessions, à travers les nationalisations en Libye, en Irak et en Syrie, ainsi que la prise de contrôle des sociétés concessionnaires dans les pays arabes du Golfe »
"Le quasi-échec de la nationalisation du pétrole iranien près de vingt ans auparavant, le renversement du Premier ministre iranien Mohammed Mossadegh et l’assassinat de son ministre des Affaires étrangères, Hossein Fatemi, avaient tétanisé l’ensemble des pays nouvellement indépendants et rendu le mot ‘nationalisation’ du pétrole synonyme de suicide politique et physique"