Journaux entre sondages boycottés et choc Saadaniste
Pour l'instant (matinée du 7 novembre) 167 personnes ont accepter de répondre à cette question et leur vote est assez équilibré entre les oui et les non...
Le DRS paralyse-t-il la classe politico-médiatique?
On sait que la presse indépendante s'est contentée de rendre compte sur le mode de la dérision les graves accusation du secrétaire général du FLN sur le pouvoir de l'ombre des services secrets. Sans analyser le sujet. Deux journalistes du Quotidien d'Oran commentent l'un, le silence de la classe politique après les récentes prises de position du secrétaire général du FLN, l'autre, la tétanisation suscitée par ces révélations.
Dans son analyse intitulée "Tirs croisé sur un Saadani qui n'a fait que dire la vérité", Kharroubi Habibexplique : "la crainte que le DRS suscite en son sein a sur elle un effet paralysant. Il n'y a pas d'autre explication à son silence après le « pavé » jeté dans la mare par Saadani. Certains des segments de cette classe politique se sont réfugiés dans le silence parce que redevables de leur statut à ce DRS."
Dans le même journal, Kamal Daoud, sous le titre "Saïdani a volé l'opposition" écrit :" Et cela fascine les Algériens : on sait tous que cet homme fonctionne par le téléphone de son maitre, ne dit rien de lui-même, même pas son prénom, n'osera jamais élever la voix sans agrément et voici qu'il attaque comme jamais personne ne l'a fait en Algérie".