22 Mars 2019
Par Saoudi Abdelaziz, 22 mars 2019
Les médias substituent à l'extraordinaire exigence de RUPTURE qui monte du plus profond du pays, le concept de TRANSITION qui est devenu le terme favori à la fois des tenants du système qui veulent bricoler des aménagement. Mais malheureusement aussi des opposants professionnels qui pensent que le changement doit être dirigée d'en haut avec l'appui de leurs compétences alternatives.
Questions:
1-Peut-on en trois mois préparer et tenir des élections présidentielles, comme l'exige la Constitution, dès la fin du mandat de Bouteflika le 28 avril? Le peuple rassemblé peut-il dans la foulée du départ de Bouteflika garder son énergie pour imposer un scrutin présidentiel libre et sans tricherie, en surveillant de bout en bout, de près, "physiquement" les opérations électorales.
2-Le peuple accordera la majorité à un candidat dont le premier engagement est de donner au peuple la responsabilité de définir les règles de fonctionnement du pays à travers l'élection d'une assemblée constituante?