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Publié par Saoudi Abdelaziz

Photo DR

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Les ouvriers réagissent collectivement, excédés par le report de la remise en marche de la production au complexe sidérurgique d'el Hadjar et au complexe mécanique de la SNVI à Rouiba. Les assurances du ministre Bouchouareb sont-elles oubliées? Le gouvernement semble laisser tomber ces deux symboles de "l'industrie industrialisante". S'agit-il d'une stratégie non avoué de liquidation, ou simplement de l'incompétence ministérielle à gérer la restauration de ces deux fleurons industriels?

"Las d'attendre le bout du tunnel, les travailleurs du complexe sidérurgique d'El Hadjar ont engagé un mouvement de contestation à travers la fermeture de l'entrée principale du complexe sidérurgique d'Annaba, avons-nous constaté sur place, écrit ce matin Wahida Bahri dans l'Expression. Une action qui traduit les profondes inquiétudes quant à la reprise de l'activité de cette entité à l'agonie. L'ampleur du mouvement renseigne sur la véracité des appréhensions formulées à plusieurs reprises, par les salariés. Ces derniers qui constatent que les promesses de la tutelle quant au redémarrage des équipements de production de l'usine est une chimère".

"C’est le statu quo" écrit Omar Arbane qui rend compte dans El Watan de la situation à la SNVI de Rouiba. "Les rassemblements se poursuivent encore et quotidiennement devant la division véhicule industriel (VIR). Les travailleurs campent sur leur position et maintiennent leur grève, et ce, malgré le versement avant-hier des salaires du mois d’octobre. Le bras de fer persiste". Principale revendication, à côté de la retraite anticipée : le relance de la production car écrit le journaliste : "Les engagements de la direction pour lancer un plan d’investissement ne sont pas honorés. L’activité et la production au sein du groupe SNVI ont considérablement chuté". 

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