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Publié par Saoudi Abdelaziz

Photo DR

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L’écrivain et poète Malek Alloula a été enterré au cimetière de Aïn El-Beïda, à Oran, où repose son frère et notre camarade, le dramaturge Abdelkader Alloula, assassiné en 1994. 

 

Par K. Reguieg-Issaad, 23 février 2015

C’est à partir du domicile mortuaire à St-Hubert que s’est ébranlé le cortège funèbre, suivi de véhicules et d’un bus du TRO transportant des comédiens. L’écrivain et poète Malek Alloula a été enterré au cimetière de Aïn El-Beïda, à Oran, samedi 21 février, où repose son frère Abdelkader Alloula depuis 1994. Une grande foule a tenu à accompagner l’auteur à sa dernière demeure, en présence de son frère Kamel, de ses cousins, de ses proches parents, des membres de sa famille et de ses amis.

La dépouille du défunt, décédé mardi dernier à Berlin à l'âge de 78 ans, a été rapatriée samedi dernier à l'aéroport d'Es-Sénia à Oran. C’est à partir du domicile mortuaire à St-Hubert que s’est ébranlé le cortège funèbre, suivi de véhicules et d’un bus du TRO transportant des comédiens. Des personnalités appartenant au monde de la culture, des hommes de théâtre, des comédiens, des artistes de tous bords ou de simples anonymes sont tous venus rendre un dernier hommage à l’auteur de Petit cireur mon frère.

Le froid piquant du mois de février donnait un air de tristesse à cette fin d’après-midi hivernale. Kamel, le frère de Malek, inconsolable, était soutenu par Noureddine Boukhatem, le maire d’Oran. Il était à l’enterrement à titre personnel, pour, dira-t-il, “assister à l’inhumation de Malek Alloula, mon ami d’enfance de M’dina J’dida”. Une façon de signifier son mécontentement face à l’absence des officiels locaux et centraux (...). 

Source: Liberté

 

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S
Malek s'en est allé rejoindre Assia à laquelle il n'a pu survivre au-delà de onze jours. Il a la &amp;amp;quot;malchance&amp;amp;quot; de n'être ni académicien ni de confession israélite, quel bénéfice à tirer donc, quelle &amp;amp;quot;aura&amp;amp;quot; pour les officiels.<br /> <br /> L'image est terrible, pour moi perso. Il me semble reconnaître dans l'homme en noir qui tend son bras, Korid Ali... aveugle et tant démuni à l'image même de l'Algérie. Dire que j'ai mal est par trop insuffisant. Yène 3al Zmène la3ouedj !
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B
M. Ali Korid est mort des années avant hélas !